Avec Heyoka, Aurus signe un morceau qui se joue des conventions et invite à perdre pied pour mieux questionner le monde. Réalisé par Anthony Winzenrieth, le titre incarne la figure du Heyoka, ce clown sacré des traditions amérindiennes, à la fois provocateur et miroir des certitudes qui nous enferment.
Entre pop tribale et pulsations magnétiques, Aurus désarme les évidences, déjoue les automatismes et nous pousse à regarder là où personne n’ose. Le résultat est une énergie espiègle, un souffle libre, et un hymne à l’absurde qui nous tend la main pour un pas de danse hors des sentiers battus.
Heyoka n’est pas seulement un morceau : c’est une déclaration d’indépendance sonore, un clin d’œil insolent à nos normes trop bien huilées.